mardi 30 juin 2015

SCC7/1 - Les SORCIERS : Il y a d'abord, le Haut-Hiérarque, père de tous les autres sorciers (viennent ensuite les sorciers régaliens et feudataires affidés et inféodés... puis tous les autres de la même bande: légataires, proconsulaires, territoriaux)


De tous les sorciers, c'est le Haut-Hiérarque, père ou "commandeur" de tous les sorciers et responsable suprême des "services" qui attire particulièrement l'attention. 


Le Haut-Hiérarque, c'est l'autocrate, le chef de bande, la calife ou le cador, le Capo di tutti capi ou le commandeur de tous les sorciers et responsable suprême des "services", celui qui fixe la répartition des charges, octroie et retire les faveurs, perçoit sa dîme sur tout ce qui se vend, s'achète ou se produit, s'importe ou s'exporte dans la sorcellerie.

Le Haut-Hiérarque est, ès fonction et qualités, le responsable principal de tous les crimes d'Etat organisés par des "services" relevant de son autorité et de tous les actes de brigandage (brigandage sécuritaire, policier et militaire, brigandage judiciaire, brigandage constitutionnel, législatif, électoral, politique, économique, social, financier, etc).commis par des "sorciers" affidés ou inféodés qu'il a installés et mis à son service et/ou accomplis ou réalisés sous la direction de "crapuleux" obéissant à ses ordres secrets et chargés de réaliser ses desseins inavouables. Il devra, tôt ou tard, en rendre compte devant le Peuple, la Justice et l'Histoire

Après la Haute Hiérarchie et sous son autorité, viennent, en effet, les sorciers régaliens (la "garde rapprochée"composée de sorciers directement affidés au Haut-Hiérarque)  et les sorciers feudataires (les "affairistes" chargés de gérer différents domaines d'activité au mieux des intérêts du Haut-Hiérarque)... et tous les autres "autorités", occupant des postes de "représentants de la Haute Hiérarchie" à chacun des différents niveaux de la chaîne de commandement de la société sorcière : les sorciers légataires, proconsulaires, territoriaux, ligablistes, etc

Des  exemples, des "illustrations"? 
Limitons-nous à la Haute Hiérarchie sorcière et aux "Hauts-Hiérarques" stricto sensu

Voici donc quelques noms d'autocrates de tous les temps, de tous les régimes et de toute la planète pour qu'on se fasse une petite idée ? 
Parmi les autocrates qui se sont installés à la tête de systèmes sorciers (caractérisés, rappelons-le, par l'opacité du processus de prise de décisions, une gestion sécuritaire et sans  vision ni projet de société, sans protection sociale de la population, sans objectif autre que celui de l'enrichissement personnel d'une caste, d'une coterie ou d'une bande mafieuse de dirigeants autoproclamés ou (mal) « élus »... des systèmes caractérisés aussi par la corruption, les marchandages et la constitution de clientèles, l'indifférence aux attentes légitimes de la population, le totalitarisme ou l'absence d'un véritable contrôle démocratique et d'une sanction positive ou négative de la gestion de la chose publique, etc) de tous les temps, de tous les régimes et de toute la planète, on citera NOTAMMENT (simples échantillons « qu'on met en vitrine pour donner une idée de l'ensemble »), en vrac et au hasard du dictionnaire, les autocrates, "hommes forts" (ou femmes de pouvoir) et personnes auto-canonisées
- De leur vivant, évidemment ! Et bien souvent défénestrées ou décapitées après ! Leurs corps suppliciés étant alors exposés publiquement sur l'escalier des Gémonies avant d'être jetés dans le Tibre,
suivantes: 
Gengis Khan, 
Julius Caesar, 
Caligula, 
Attila, 
Charlemagne-le-djihadiste chrétien, convertissant de force au christianisme les infidèles, les Yazidis et autres analphabètes, réfractaires aux religions du Livre et adorateurs du diable: « le baptême ou
- Ou l'exil ou le paiement d'une rançon ?
- Même pas !
la mort ! », 
Godefroy de Bouillon, 
Jean-sans-Terre, 
Richard Ier d'Angleterre que les Français appellent « Richard Cœur de Lion » et les Sarrasins « Melek-Ric » et qui persécuta les Juifs et dont le nom est utilisé en arabe utilisé pour effrayer les enfants : « Si tu n'obéis pas, le roi Richard viendra te chercher ! », 
Jean Ier de Bourgogne, dit « Jean-sans-Peur », 
Charles le Téméraire, 
Richard Trois, accusé par Shakespeare... Injustement ? d'avoir tué ses neveux, les enfants d'Edward, pour pouvoir accéder au trône d'Angleterre et dont le cadavre dénudé a été promené sur un âne archiprêtre... avant d'être enterré sans ticket sous un parking de Leicester, 
Henri VII et Henri VIII, 
Elisabeth Ier d'Angleterre, 
Alexandre Six,  
Isabel la Catolica, imposant la terreur catholique par la sainte Inquisition, 
Charles de Habsbourg (alias Charles-Quint), archiduc d'Autriche et prince des Espagnes, né au Prinsenhof de Gand, 
Philippe Deux d'Espagne, 
Tamerlan (alias Timour le Boiteux), 
Louis Neuf de France (alias Saint Louis) et toute la bande des Louis tiiiiii... Louis Treize, Louis Quatorze et Louis Quinze (qui ont tous raté une révolution française qu'ils avaient pourtant largement contribué à promouvoir), Louis Seize (qui n'a rien raté du tout), Louis Dix-Huit (ça s'était coupé, un temps... puis ça avait repris mais pas pour très longtemps), 
Piotr Alekseïevitch Romanov, mieux connu sous le nom de Pierre le Grand... et dont le propre fils, le tsarevitch Alexis, a été reconnu capable et donc coupable de crime contre la sûreté de l'État et condamné à être fouetté jusqu'à ce que mort s'ensuive, 
Catherine Deux de Russie, née Sophie-Frédérique-Augusta d'Anhalt-Zerbst, 
Joseph Deux du Saint-Empire, 
Napoléon Bonaparte, 
Léopold de Saxe-Cobourg Gotha (alias Léopold Deux), conquistador et esclavagiste, importateur-distributeur de religions fabriquées ailleurs et chef de l'Etat Indépendant du Congo qu'il gouvernait depuis sa résidence d'été de la station balnéaire d'Ostende, éreinté d'avoir, en décembre 1909, en moins d'une semaine, en urgence, 1. signé une loi introduisant le service militaire obligatoire , 2. épousé Blanche Delacroix (alias la baronne de Vaughan, alias madame Antoine Durrieux) et 3. s'être fait opérer par le docteur Antoine Depage et qui aurait été emporté par... 
- Surmenage sexuel  ? 
un cancer du côlon, 
Joseph Vissarionovitch Djougachvili (dit Koba, dit Staline, dit « le vodj »), ogre bien connu
Adolf Hitler, qu'on ne doit plus présenter
Benito Mussolini, complice du précédent
Francisco Franco, général à 33 ans, recevant à Paris la légion d'honneur pour ses « exploits » dans l'écrasement de la « République du Rif » d'Abdelkrim El Khattabi et le gazage à l'ypérite de ses habitants, bombardé dans leurs villages et sur les marchés... et, après s'être emparé du pouvoir (par le coup d'Etat militaire des 17 et 18 juillet 1936 et la longue guerre faire à la République et au peuple espagnol avec le concours de Hitler et de Mussolini), décorant Salvador Dali de la Grande Croix d'Isabel la Catolica, 
Mao Zedong, 
Mohammad Reza Chah Pahlavi, 
António de Oliveira Salazar,  
Nicolae Ceausescu, 
Saddam Hussein, Hafez et Bachar el-Assad, 
François Duvalier (alias Papa Doc) et Jean-Claude Duvalier (alias Baby Doc), 
Alfredo Stroessner Matiauda, Anastasio "Tachito" Somoza, Fulgencio Batista, Rafaël Léonidas Trujillo Molina, Efrain Rios Montt, Manuel Noriega, Jorge Rafael Videla, Augusto Pinochet, 
Omar Bongo
Hosni Moubarak, Zine al-Abidine Ben Ali, Mouammar Kadhafi, 
Soeharto, Ferdinand Marcos,
Sekou Touré, 
Idi Amin Dada, Jean-Bedel Bokassa, Dadis Camara... et Yahya Jammeh (déclarant,à propos de la mort de l'opposant Solo Sandeng :"Où est le problème ? Des gens qui meurent en détention ou pendant un interrogatoire, c'est très commun. Personne ne me dira que faire dans mon pays")
Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu wa Zabanga, 
Mengistu Haile Mariam, 
Robert Mugabe, José Eduardo dos Santos, Denis Sassou Nguesso, Paul Kagamé, Joseph Kabila, Pierre Nkurunziza... et Yoweri Musoveni déclarant: "Comment pourrais-je quitter une bananeraie que j'ai plantée et qui commence à donner des fruits ?" 
Pol Pot, Khieu Samphan, 
Kim Il-sung et toute sa descendance : Kim Jong-il, Kim Jong-un... et puis quoi encore ?
Jean Paul Deux, 
Ruhollah Khomeini, 
Hadj Sir Hassanal Bolkiah Muizzadin Waddaulah, 
Issayas Afewerki, 
Benoît XVI et le pape François : lançant de nouvelles croisades ou djihads de propagation de la Foi chrétienne et se donnant pour objectif l'expansion de leur entreprise et la création de nouveaux débouchés en Asie... et, plus particulièrement, en Corée, en Chine et au Japon ? 
le général Than Shwe, 
le président Xi Jinping, se promettant de dératiser le Xinjiang de ses « extrémistes musulmans » 
et le premier ministre Li Keqiang, etc

Sans oublier évidemment
- Et il n'est pas toujours facile de faire la différence !
ceux qui évoluent au sein de systèmes apparemment démocratiques en interne mais qui relèvent du système sorciers en externe (manipulation de processus électoraux, fomentation de coups d'État, guerres d'agression, recours aux services de barbouzes, etc) ou vis-à-vis d'une partie de leur population (apartheid, discriminations et ségrégations, relégation dans des « réserves » ou des « camps » : amérindiens, romanichels et bédouins, gens de la mauvaise couleur, de la mauvaise religion, du mauvais endroit ou de la mauvaise orientation sexuelle : Juifs de l'Europe chrétienne, Cafres ou Kaffirs de l'ancienne Afrique du Sud, Hereros et Namas de Namibie, Musulmans d'Inde ou d'Israël, Batwa du Rwanda et Pygmées du Katanga, Barakis de Wallonie, Rroms, Tziganes, Manouches et Gitans, personnes dites « de couleur », « allochtones » et « bâtards de sang-mêlé », bougres et bougresses, uraniens, hijras d'Inde, katoeys de Thaïlande, cartomanciennes et féministes, cathares, albinos ou sarrazins, etc)... à savoir, en général, la plupart des présidents des États-Unis, de la Russie, de France, de l'Afrique du Sud, etc... et la plupart des premiers ministres de Grande-Bretagne, d'Israël, etc... et, notamment 
John-Fitzgerald Kennedy, faisant la guerre à Cuba, au Vietnam..., 
Les Bush, père et fils, envahissant la Somalie, l'Irak et l' Afghanistan..., 
Barack Obama, la veste jetée sur l'épaule... mais présidant les « Mardis de la terreur » où le Pentagone et la CIA décident des cibles à éliminer, intervenant en sous-main en Syrie et en Ukraine...,
Vladimir Poutine, intervenant également en sous-main en Syrie et en Ukraine..., 
Charles De Gaulle, déclarant la guerre à l'Indochine, s'immisçant activement dans les affaires intérieures de la Guinée et de tous les autres chefferies de l'ancien empire colonial français, 
Nicolas Sarkozy, provoquant une intervention des plus foireuses en Libye..., 
Margaret Thatcher, intervenant de façon arrogante et "disproportionnée" aux Malouines..., 
John Vorster, 
Marais Viljoen, 
Pieter Botha, 
Ariel Sharon et Benyamin Netanyahou, etc... de même que de nombreux ministres de chefferies à prétentions démocratiques ayant eu en charge les « colonies » puis les affaires étrangères, la coopération ou la gestion des problèmes d'immigration. Ainsi les ministres du Royaume de Jupiler ayant ordonné et conduit (avec la « sanction royale », évidemment et celle de Monseigneur l'Archevêque de Malines) de nombreuses « opérations spéciales » en République autocratique du Luabango, au Rwanda ou au Burundi : condamnation et déportation des kimbanguistes, répression de la révolte populaire des coupeurs de noix de palme dans le Kwilu, éviction et assassinat de Patrice Lumumba, instauration des proconsulats des colonels Henniquiau et Logiest au Rwanda et au Burundi, offensive de l'Ommegang avec les colonels Vandewalle, Liégeois, Lamouline et le largage des parachutistes du colonel Laurent... ayant tous reçu pour mission d'éradiquer les lumumbistes et de mater les "chiens fous" de  la « rébellion » (une insurrection de « gens de l'intérieur » et de "la masse", grands oubliés de l'Indépendance du Luabango). Notons à ce sujet qu'en matière d'actions et de renseignements militaires dans des pays étrangers et particulièrement au Luabango
- Oublions le respect de la souveraineté des peuples  ! Faisons valoir « le droit et le devoir de coloniser », « le droit et le devoir de christianiser » « le droit et le devoir de s'ingérer » et la défense des intérêts miniers, forestiers, agricoles ou pétroliers des entreprises multinationales et les impératifs de la « sécurité internationale » ! 
le Royaume de Jupiler est en mesure de donner des leçons (de savoir-faire... d'arrangements boutiquiers, plan foireux, atermoiements funestes et précipitations inconsidérées, astuces, feintes, esquives, débrouilles ou dérives : zijn plan trekken... et un carnet de commandes toujours bien rempli) au monde entier !



*
*   *



Il n'y a pas à dire : partout dans le monde, dans toutes les autocraties... et même dans les "démocraties", à toutes les époques et sous tous les régimes, la vie des peuples a toujours été contrôlée ou cochonnée par des sorciers sans véritable légitimité populaire qui les ont mis sous surveillance ou rançonnés, rackettés et vampirisés. 







Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
Problème ezali te, cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/







SCC7/2 - Les SERVICES : ce sont organes de police ou de justice de type politique, répondant exclusivement aux ordres de la Haute Hiérarchie et ne devant, habituellement, rendre compte à aucune instance démocratiquement élue



Des exemples ?
Des noms de différents « services » relevant directement de leur Haute Hiérarchie, un peu partout dans le monde, à toutes les époques et sous tous les régimes ? 
Le Smersh ou le Spectre existent-ils vraiment ? 

Rappelons tout d'abord que, dans une sorcellerie, les "services" dits de sécurité, d'intelligence ou de renseignements et d'action sont, en fait, des polices politiques chargées de mettre hors course ou hors d'état de nuire...
- Cessons les distractions ? La récréation est terminée ? 

tous ceux qui ne partagent pas les "visions", "orientations" et points de vue du Haut-Hiérarque en place, de ses affidés et inféodés.
Rappelons aussi que lorsque
- Et c'est souvent le cas ! Notamment en République autocratique du Luabango, comme auparavant en République du Zaïre et, bien entendu, sous le régime colonial !
lesdits "services" dits de sécurité ou de renseignements n'ont pas de comptes à rendre au peuple et échappent à tout contrôle démocratique, on se trouve bel et bien en présence d'une dictature.

Les "services" sont habituellement une pieuvre à plusieurs visages. Ils sont présent partout (au bureau, dans la rue, à l'usine, à la mine, à l'université, en ville et à la campagne) dans tous le pays et dans tous les secteurs... En République autocratique du Luabongo, par exemple, les « services » comprennent:
- non seulement des stratèges et des analystes, des négociateurs secrets...
- mais aussi des espions attitrés et d'innombrables mouches et informateurs... 
- et encore des spécialistes du complot  politique et des "scénaristes" chargés d'imaginer et de mettre en oeuvre des campagnes de mensonges à propager, des pièges à tendre et des "sting operations" et autres coups tordus à monter contre des opposants... 
- et enfin des hommes de main (instrumentistes-gardes du corps, geoliers et tortionnaires, saboteurs, empoisonneurs et tueurs, pombas soudoyés et instrumentalisés pour casser des manifestations, régler des comptes, etc.) chargés d'exécuter les basses besognes,  opérations de "targeted killing", enfermement de contestataires dans des cachots secrets, viols, tortures et "exécutions extrajudiciaires", ramassage et transport des cadavres, ouverture, surveillance et, si nécessaire, dissimulation ou déplacement des charniers de "corps de l'Etat" 
 
Notons également que les "services" peuvent être "civils" ou "militaires" ou relever d'une direction particulière de la police.  En sus de leurs activités dites de "surveillance" et de "renseignements" ces polices politiques ont développé de nombreuses expertises dans les domaines de la suppression des preuves, de l'intimidation, de l’arrestation ou la disparition d'opposants aux sorciers au pouvoir ou de journalistes et membres d'associations de défense des droits de l'homme : enlèvements et enfermement dans des cachots clandestins, saccage de salles de rédaction de journaux, tabassage des vendeurs de journaux
- C'est ça l'astuce (inspirée par des philosophes-conseils, sans doute ?) : on laisse les journaux paraître et on les arrache des mains des vendeurs  ! 

plastiquage de studios de télévision, mises sur écoute et campagnes de terreur, passages à tabac, menaces de mort envoyées par SMS,  assassinats perpétrés par des "bandits armés", noyades, empoisonnements ou "intoxications alimentaires", sabotages et accidents d'avion ou
- Un véhicule poids lourd perdant subitement le contrôle de sa direction ou de son système de freinage ! Mawaaaaa !

de circulation routière, mystérieux incendies ravageant des installations abritant du matériel informatique où sont stockées des données très importantes.
Aux polices politiques "civiles" ou "policières" , s'ajoutent aussi une "justice politique militaire" qui se substitue très souvent à la justice civile, délivre des "lettres de cachet", fait procéder à des arrestations arbitraires, recourt à des "techniques d'interrogatoire avancé", arrache de prétendus "aveux", fabrique des preuves et falsifie des pièces, menace les familles et les avocats des victimes, fait rendre des condamnations rédigées à l'avance par des juges obéissant à des ordres militaires et échappe à tout contrôle du pouvoir judiciaire et de la représentation populaire (quelques exemples pour illustrer mon propos? il suffit de penser à la parodie de justice rendue à Guantanamo et au comportement de certains responsables d'auditorats militaires du Luabongo).
 
Parmi les "services" dirigés ou supervisés par des personnes ayant la confiance de leur Haute Hiérarchie et fonctionnant le plus souvent en dehors de la chaîne de commandement de l'Armée, de l'Intérieur ou de la Justice et ne devant rendre compte à aucun instance démocratiquement élue et souvent mis en concurrence, tant au plan national qu'au plan international, dans une espèce de championnat de psychopathes, de tortionnaires cyniques et de tarés, on citera NOTAMMENT (simple échantillon mis en vitrine "pour donner une idée de l'ensemble »), en vrac et au hasard de Google et des dictionnaires



La  PIDE et le SAMI (ayant longtemps travaillé en équipe au Mozambique et en Angola)
la IIIe Section de la chancellerie privée de l'Empereur de Russie, l'OKHRANA, la TCHEKA, le GPU, la branche SMERSH de l'Armée Rouge, le NKVD, le MVD, le KGB, le FSB (Federal'naya Sloujba Bezopasnosti), le GRU (Glavnoe Razvedivatel'noe Upravlenie), le SVR (Sluzhba Vneshney Razvedki)
les SPETSNAZ, groupes d'intervention spéciaux de la police et de l'armée russes, des minsitères de la  Justice et des Affaires intérieures russes, du FSB et du SVR,
la GESTAPO (Geheime Staatspolizei)
le BND (Bundesnachrichtendienst), le BFV (Bundesamt fur Verfassungschutz)
la STASI (Staatssicherheit)
la SECURITATE
le SRI
le GUOANBU (Guojia Anquan Bu), le QINGBAOi
la DINA (à l'époque de la dictature chilienne)
la Guardia de Infanteria d'Argentine, 
la SAVAK (à l'époque du Shah)

le ou la VSE (Veiligheid van de Staat-Sûreté de l'Etat), le SGRS (Service Général du Renseignement et de la Sécurité), le CGCCR (Centre Gouvernemental de Coordination et de Crise, direction générale du SPF Intérieur, alias « Centre de crise »), l' OCAM (Organe de Coordination pour l'Analyse de la Menace ayant succédé au Groupe Interforces Antiterroriste GIA) et l'ANS (Autorité Nationale de Sécurité), le  Bn ISTAR (Intelligence, Surveillance, Target, Acquisition et Reconnaissance), le CGSU (la direction des unités spéciales du Commissariat général de la police fédérale... collaborant, en de nombreuses occasions, avec la GIGN française, notamment lors de l'assaut donné à un appartement de Verviers suspecté d'abriter un groupe de conspirateurs terroristes en janvier 2015... mais cette coopération veut rester discrète), le DR3 (la section antiterrorisme de la Police Judiciaire Fédérale) et les EAS (les équipes d'intervention spéciale des polices locales), le CCSB (Centre Cyber Security Belgique, placé sous l'autorité directe du Premier ministre) ou le CERT (Cyber Emergency Response Team),

l'AISI (Agenzia Informazioni e Sicurezza Interna, anciennement SISDE), l'AISE (Agenzia Informazioni e Sicurezza Esterna, anciennement SISMI),  le DIGOS (Divizione Investigazioni Generali e Operazioni Speciali) de la police italienne,
le CNI (Centre Nacional de Inteligencia), 
le SS (Security Service, plus connu sous son ancien nom MI-5, chargé du renseignements intérieur), le SIS (Security Intelligence Service, plus connu sous son ancien nom MI-6), le DIS (Defence Intelligence Staff), le GCHQ (Government Communications Headquarters, service de renseignement technique et électronique britannique, ex MI-8)
la DGSI française (substituée à la DCRI née de la fusion des Renseignements généraux RG et de la DST, chargée du contre-espionnage), la DGSE (ex-SDECE, ex-Deuxième Bureau) et les instumentistes des forces spéciales d'intervention (les super-flics du RAID, pour Recherche Assistance Intervention Dissuasion,  appelés aussi les "hommes en noir", les super-gendarmes du GIGN, les BRI de la police judiciaire), le Commandement des Opérations spéciales et les Forces spéciales françaises du 1er RPIMA,
le directeur national du renseignement qui chapeaute les 17 agences de renseignement américaines, la CIA, le FBI, le NGA, le NRO (National Reconnaissance Office), la DIA (Defense Intelligence Agency), la NSA (National Security Agency), le JSOC (Joint Special Operations Command), BLACKWATER
l'ISI pakistanais,
les Forces Spéciales Ivoiriennes (FSI), le Groupement de sa Sécurité Présidentielle (GSPR), l'Unité d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (UIGN) et la Force de Recherche et d'Assaut de la Police (FRAP) de la Côte d'Ivoire d'Alassane Ouattara,
l'UNITE 433 de la police israélienne, les Services d'action psychologique des Renseignements militaires, le MOSSAD, le SHABAK (aussi connu sous le nom de SHIN BETH), le GSS, l'UNITE 8200 de l'armée israélienne (également appelée Israeli SIGINT National Unit ou ISNU) AMAN (Agaf Hamodin), NATIV et autres « services du Premier ministre »
le MIT (en Turquie), 
le MOUKHABARAT (en Egypte, en Syrie, etc)
la DGST du Maroc ou du Congo-B (Direction Générale de la Surveillance du Territoire) 
la SSA sud-africaine, 
la DAS colombienne
le RST (Régiment de Sécurité Présidentielle) du Burkina Faso, à l'époque de Blaise Campaoré,
le SNR (Service National de Renseignements) du Burundi qui se fait appeler à présent la Documentation, 
le GSU (le General Service Unit) de l'Ouganda ou du Kenya
le DRS (Département du Renseignement et de la Sécurité) algérien, 

le SNIP (le Service National d'Intelligence et de Protection), renommé en 1996 DGSN (Direction générale de la sûreté nationale (DGSN)...
L'ANR (l'Agence Nationale de Renseignements comprenant un département d'appui logistique et des départements d'action : le DSE et le DSI... et, au sein de ce dernier département, une Direction spéciale des investigations et recherches DSIR)
la DETECTION MILITAIRE DES ACTIVITES ANTI-PATRIE (la DEMIAP, à présent débaptisée et désormais appelée Etat-Major des renseignements militaires, ce qui est vachement moins funky) et les racketteurs du service communément appelé « TD » (comme « travaux dirigés », comme « tableaux de dotation »... ou plutôt  comme T2 ? à ne pas confondre avec les S2 des différentes unités de l'armée ? ou avec les agents geôliers et tortionnaires du P2, les "renseignements " de la police ?)
l' AUDITORAT MILITAIRE (une espèce de Saint-Office chargé des inquisitions et des persécutions, intervenant dans tous les sales besognes, celles qu'on appelle aussi, par euphémisme, les « dossiers sensibles »... sous la houlette du général***),
la PNC et les unités spécialisées de la Police Nationale Luabangaise telles que la Légion nationale d’intervention (LENI, ex-Police d'Intervention Rapide, PIR), la brigade d’investigations criminelles et le Groupe mobile d’intervention (GMI) et, surtout, la Direction générale des renseignements et des services spéciaux de la police (DGRS dont relèvent les P2)
la DGM
la GARDE REPUBLICAINE (alias GR, alias les Bérets rouges, alias Bana Mura) et, notamment, le régiment RSH (Régiment Sécurité et Honneur) chargé de la garde rapprochée de la Haute Hiérarchie,
le CNS (veillant, sous l'autorité du conseiller spécial en matière de sécurité, à la centralisation et à l'exploitation des documents et renseignements émanant des différents « services » spécialisés... et dont le général*** est membre)
la Commission mixte sécuritaire (une commission « exécutive » illégale ou, à tout le moins, fonctionnant « en dehors » de tout cadre légal et « en marge de la loi », crée par Samba Kaputo, alors conseiller spécial à la sécurité... et que préside le général***)...
toutes ces officines au service du pouvoir sorcier en République autocratique du Luabongo ont en commun la gestion de lieux de détention, souvent souterrains et toujours tenus secrets, où des personnes « disparues » se retrouvent internées en dehors de toute légalité et de tout contrôle judiciaire tels que les camps CETA (GSP) et Kibomango dans la commune de la N'Sele, l’immeuble à 7 étages du Groupe Litho Moboti (GLM) et de nombreux autres cachots (au Palais de Marbre, notamment, sous contrôle de la GR, etc... et même au Palais de la Nation !)




*
*   *




Il n'y a pas à dire
 : partout dans le monde, dans toutes les autocraties, au Luabongo comme ailleurs, à toutes les époques et sous tous les régimes, les peuples ont toujours été pistés, épiés et fichés par des "services".






Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
Problème ezali te, cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/








SCC7/3 - Les CRAPULEUX : ce sont des salauds à la solde de la Haute Hiérarchie (mais aussi très attachés à leurs intérêts particuliers...) dont ils accomplissent les basses besognes avec le concours d'instrumentistes-exécutants répondant à leurs ordres


Le Haut-Hiérarque est, ès fonction et qualités, le responsable principal de tous les crimes d'Etat organisés par des "services" relevant de son autorité et de tous les actes de brigandage commis en son nom par des "crapuleux". 

Les crapuleux  sont des.personnes obéissant aux ordres secrets de la Haute hiérarchie et qui sont chargés par celle-ci d'accomplir ses basses besognes et de réaliser ses desseins inavouables.

Auteurs d'actes de brigandage en tous genres (brigandage sécuritaire, policier et militaire, brigandage judiciaire, brigandage constitutionnel, législatif, électoral, politique, économique, social, financier, etc...), les crapuleux ne sont pas de simples agents, de petits malfrats. 
Ce sont habituellement des personnes occupant des fonctions importantes au sein de la sorcellerie, à différents niveaux : administrateurs des "services", certes, mais aussi membres du Grand Conciliabule réputés concussionnaires (beaucoup de crapuleux sont, en effet, des sorciers régaliens ou feudataires, tels que Shabbo, Tshaku, Bouki l'Hyène, La Malibran ou M'Bweta, son remplaçant... même si tous les sorciers ne sont pas des crapuleux), députés et sénateurs corrompus (beaucoup de "représentants du peuple" sont, en effet, des crapuleux qui monnayent leurs votes et interventions... même si tous ne le sont pas ), fonctionnaires et magistrats indignes (beaucoup de fonctionnaires et de magistrats, même au plus haut niveau de l'Administration publique, de la Cour Suprême de Justice et de la Cour constitutionnelle, etc... on connaît la chanson !), commissaires de police prévaricateurs et tortionnaires et officiers des FARAL sanguinaires et racketteurs (beaucoup de policiers et de militaires, tels que le général*** responsable principal des tribulations de Mopoie et de Bangazegino et l'ancien inspecteur général de la Police généralement considéré comme le commanditaire de l'assassinat de Floribert Chebeya et de Fidèle Bazana, etc...), archevêques, évêques et pasteurs dévoyés, banquiers véreux, professeurs-docteurs mercenaires, musiciens pervers et journalistes flagorneurs, etc.
Travaillant pour la Haute Hiérarchie, les crapuleux opèrent soit directement au sein des "services" (beaucoup de responsables des "services sont des crapuleux, tels qu'Ysengrin, etc... on connaît la chanson !) soit avec leur concours et avec l'aide de leurs agents. 
Des noms circulent. Nombreux sont ceux qui devront rendre des comptes au Peuple, à la Justice, à l'Histoire.

Dans la présente séquence, nous considérerons, successivement:
Les crapuleux « stricto sensu », ceux qui fomentent, scénarisent et font exécuter par des instrumentistes sous leurs ordres des actes de brigandage primaire en tous genres : coups montés, assassinats, massacres, etc..(dans des sorcelleries où toutes les morts sont nécessairement suspectes: "Ba nani baliaki bango ?");
-  Les crapuleux d'un niveau culturel plus élevéâmes damnées, éminences grises ou dongola miso, auteurs intellectuels, commanditaires ou inspirateurs, non seulement d'actes de brigandage de type sécuritaire  mais aussi de différents autres actes de brigandage dans les domaines les plus divers;
Les transgenres et les mutants : crapuleux (voire instrumentistes à leurs ordres) ou âmes damnées utilisatrices de services de crapuleux ...  qui parfois cherchent à devenir Hauts-Hiérarques eux-mêmes;
Les victimes des crapuleux et, particulièrement, les victimes d'actes de brigandage policier, sécuritaire et militaire (dans des sorcelleries où les accusations, inculpations, arrestations, exécutions extra-judiciaires, procès, condamnations et "amnisties" sont, dans les affaires dites sensibles, "montés de toutes pièces" et se déroulent conformément à des scénarios rédigés à l'avance par les "services")


1.      Les « crapuleux » ordinaires, tels que le général***


Quelques noms de crapuleux de tous bords,  psychopathes pervers ou voyous sadiques, auteurs de faits relevant du brigandisme policier, sécuritaire, militaire ?  
Des exemples ? 

Les crapuleux on en trouve un peu partout. Dans les différentes catégories de sorciers bien sûr mais aussi et, surtout, dans les "services", civils ou militaires

Parmi les chefs, haut-gradés et collaborateurs des « services » de tous les temps, de tous les régimes et de toute la planète, supposés être des crapuleux et, à ce titre, « passés à la postérité »,on mentionnera NOTAMMENT (simple échantillon « qu'on met en vitrine pour donner une idée de l'ensemble »), en vrac et au hasard des dictionnaires :
Diego Lucero, Bernard Gui, Tomas de Torquemada,
James Turell,
l'abbé Arnaud-Amaury, celui qui ordonna le massacre de Béziers:  "Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens",
Gilles de Rais, le « frère d'armes » de Jeanne d'Arc,
Francisco Pizarro, Hernan Cortès,
Francisco Vasquez de Coronado, Juan de Oñate y Salazar et Pedro de Peralta (les massacreurs des Indiens de la vallée du Rio Grande au Nouveau-Mexique) ou encore Juan de Humana, Francisco Leiva Bonilla et Juan de Archetula (les envahisseurs du Colorado)
le père franciscain Junipero Serra (théologien espagnol et génocidaire culturel considérant « qu’enseigner à ces nomades le mode de vie européen était mieux pour eux ») ayant fondé la mission de San Diego en 1769 (puis de nombreuses autres missions-camps de concentration, de  conversion contrainte, d’acculturation imposée, de mariages forcés et de travaux obligatoires) et étant révéré comme « l’évangélisateur de la Californie »,
le duc d'Albe, gouverneur des Pays-Bas avec le titre de vice-roi,
l'abbé François de Langlade du Chayla,
Jacques de Julien et le maréchel de Montrevel (qui se sont illustrés dans la répression des Camisards),
l'accusateur public Fouquier-Tinville,
le comte Alexandre Khristoforovitch von Benckendorff qui réprimât les Décembristes et fût nommé directeur de la troisième section de la chancellerie impériale de Russie, la police secrète,
le général George Armstrong Custer, responsable du massacre des habitants du village du chef cheyenne Black Kettle,
le général Bugeaud (alias l'Enfumeur),
William Calcraft, le bourreau sadique montant sur le dos des pendus ou s'agrippant à leurs pieds,
le commandant du Paty de Clam et le général Billot,
le général Lothar von Trotha, planificateur du génocide des Hereros,
Reinhard Heydrich, acteur important de  la « Nuit des Longs Couteaux » et protecteur-adjoint du Reich en Bohême-Moravie,
le Reichführer S.S. Heinrich Himmler, Oswald Pohl (administrateur de la S.S. et directeur des camps de concentration), Adolf Eichmann, le médecin Joseph Mengele,
Félix Dzerjinski, Nicolaï Ivanovitch Iejov  (nommé en septembre 1936 à la tête du NKVD et fusillé en prison en février 1940),  Lavrenti Pavlovitch Béria (adjoint puis successeur de Iejov), le procureur Andreï Vychinski, le colonel-général Viktor Semionovitch Abakoumov (patron du Smersh puis ministre de la Sécurité d'Etat MGB),
le général Matsui Iwane, commandant les troupes japonaise à Nankin (mais ayant fait valoir, pour sa défense, qu'il... souffrait de tuberculose et qu'il n'était pas lui-même présent au début des atrocités) et le prince Asaka,
un certain docteur J. Vinck ou Vincke (suspicion d'assassinat du mwami Mutara III Rudahigwa en 1959 ?),
Ferdinand Kazadi et Jonas Mukamba, Jean-Baptiste Kibwe, Gabriel Kitenge, le commissaire Verscheure, le capitaine Julien Gat, le lieutenant Michels, le lieutenant Claude Grandelet, le brigadier François Son, le policier Gérard Soete et son frère… et  
- Nani wana ? Un arthropode de la Sûreté coloniale ?
un certain Raymond, tous impliqués dans l'assassinat de Patrice Lumumba en 1961 ?,
Dirk Coetzee,
Douch,
Licio Gelli, grand maître de la loge maçonnique P2 (Propaganda Due), réseau d'hommes politiques (tels que Silvio Berlusconi), de financiers (tels que Roberto Calvi, président dela Banco Ambrosiano), de magistrats et de militaires (réseau Gladio) qui ont infiltré la société italienne et tous les rouages de l'Etat italien dans les années 1970-1980
le général Bosange et le commandant Ntwaleki, impliqués dans le massacre planifié d'européens de Kolwzezi lors de la guerre du Shaba en 1978 ?,
Manuel Contreras, le chef de la police politique de Pinochet,
le général Bolozi, le général Nzimbi, le général Baramoto Kpama, Goga (patron de l'ANI),
le général Gilbert Diendéré, mêlé à toutes les exécutions et à tous les assassinats politiques au Burkina-Faso, ceux de Thomas Sankara, du commandant Jean-Baptiste Lingani et du capitaine Henri Zongo, de David Ouédraogo et de Norbert Zongo,
le major général Geoffrey D. Miller qui a commandé le centre de détention de Guananamo Bay de novembre 2002 à avril 2004 et, par la suite, la prison d'Abou Graiben, en Irak,
la générale de brigade de la police militaire de l'armée américaine Janis Leigh Karpinski (alias "Aboyi Kosenga Pardon") commandant la prison d'Abou Graib,
le capitaine Paul Barril,
le général Radko Mladic,
les princes saoudiens (Turki, Bandar, etc) placés à la tête des services de renseignements du royaume wahhabite,
Ahmed Al-Faqi Al-Mahdi (alias Abou Tourab), ancien chef de la brigade des moeurs d'Ansar Dine, ayant notamment dirigé la destruction, à Tombouctou, de plusieurs édifices religieux (une mosquée, des mausolées) auxquels la population était très attachée
les généraux Adolphe Nshimirimana et Christophe Manirambona (alias Wakenya, le Boiteux) du Burundi,
le général Emmanuel Karenzi Karake, alias KK, chef de la Directorate of Military Intelligence (DMI) du Rwanda et accusé, notamment, de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre commis en République autocratique du Luabongo,
Guihini Korei  l'ancien Directeur général de la DDS de Hissene Habré, 
Robert Yékoua-Kette, l'ancien directeur de l'Office central de répression du banditisme OCRB, surnommé "le shérif de Bangui",
les généraux algériens Abdelkader Aït-Ouarab (alias Hassan) ou Mohamed Mediene (alias Toufik),
le Vice-amiral Jean-Dominique Okemba, alias JDO (neveu du Haut-Hiérarque de la République de Fara-Fara et patron des services secrets), le Général de Brigade Nianga-Ngatsé-Mbouala (cousin maternel du Haut-Hiérarque de la République de Fara-Fara et Commandant de la Garde républicaine) et le Général de police de 2ème classe Jean François Ndenguet (chef de la police, connu pour ses méthodes musclées et responsable, notamment, des expulsions massives et brutales de ressortissants de la République du Luabongo installés en République de Fara-Fara)
l'administrateur général de l'ex-Agence nationale de Documentation et le patron de l'ex-Service d'Action et de Renseignements Militaires dont je tairai le nom, … Pour l'instant ! et le grand inquisiteur et persécuteur du Saint-Office, le général*** ?


2.   Les crapuleux d'un niveau culturel plus élevéâmes damnées, éminences grises ou dongola miso, auteurs intellectuels, commanditaires ou inspirateurs, non seulement d'actes de brigandage de type sécuritaire  mais aussi de différents autres actes de brigandage dans les domaines les plus divers 

Ce sont, particulièrement les "ministres" et  "conseillers spéciaux" (officiels ou occultes), des Hauts-Hiérarques, inspirateurs  et confident d'autocrates (ou confesseurs et "directeurs de conscience" : évêques en charge d'un diocèse, évêques in partibus infidelium ou carrément évêques défroqués) qui constituent le plus ferme soutien des Hauts-Hiérarques (jusqu’au moment ils décident de se retourner contre leur maître et de se couronner eux-mêmes). 
Amateurs de champagne rosé et de musique classique, quelquefois numismates et collectionnaure d'oeuvres d'art, souvent passionnés d'échecs, pratiquant avec élégance le golf,  la chasse à courre et les danses de salon, ces crapuleux polyvalents et plus haut-gradés sont non seulement les auteurs intellectuels des actes de brigandage de type sécuritaire dont se rendent coupables les crapuleux ordinaires (dont il n'est pas toujours facile de les distinguer) mais aussi les inspirateurs ou commanditaires de différents autres actes de brigandage dans les domaines les plus divers:  électoral et constitutionnel, politique et diplomatique, militaire et judiciaire, économique et financier, social et culturel, etc
Les âmes damnées ou éminences grises sont aussi de grands recruteurs et utilisateurs des services de philosophes-conseils, des larbins du langage qu'ils appointent et qu'ils chargent de concevoir des éclairages de secours (ou d'imaginer des "solutions définitives" plus radicales : des rafles, des déportations, des guerres, etc) susceptibles de venir en aide aux systèmes sorciers en perdition et d'assurer leur survie  (l'absolutisme royal, le servage léopoldien, le colonialisme scientifique des Noko, la dictature au service du capitalisme néo-colonial, la gouvernance des Etats par une bourgeoisie compradore jalouse de sa prétendue "souveraineté) ? 

Des exemples ? 

Parmi les (supposés) confidents, inspirateurs, dongola miso agissant dans l'ombre et âmes damnées de sorciers titulaires, maîtres en crapulerie et utilisateurs des services de crapuleux ordinaires, on mentionnera NOTAMMENT (simples échantillons « qu'on met en vitrine pour donner une idée de l'ensemble »), en vrac et au hasard de Google et des dictionnaires (1) :
Jolantha de Aragon, belle-mère et protectrice du dauphin Charles,
Thomas Cromwell, poussant Jane Seymour (pâle et blonde, douée pour les travaux d'aiguilles) dans les bras d'Henti Huit et le débarrassant, aradjicalement, d'Anne Boleyn (brune et au teint olivâtre, exécutée la veille de l'annonce des fiançailles de sa rivale avec Barbe-Bleue)... décapité en secret à la Tour de Londres par un bourreau inexpérimenté (qui trois fois sur le métier a remis son ouvrage) et dont la tête, préalablement bouillie, fût exhibée sur une pique, Olivier Cromwell, héros de la liberté ou dictateur régicide (Charles Premier) et génocidaire (les Irlandais), enterré à l'abbaye de Westminster pui déterré par les royalistes revenus au pouvoir et décapité,
le cardinal Scipione Caffarelli-Borghese,
Armand Jean du Plessis, cardinal-duc de Richelieu et de Fronsac,
Tomas More,
François Leclerc du Tremblay, plus connu sous le nom de Père Joseph, « l'éminence grise de l'éminence rouge »,
Sir Francis Walsingham,
le cardinal Jules Mazarin,
Gabriel-Nicolas de la Reynie,
Madame de Pompadour,
Alberoni, Sartine, Jean-Charles-Pierre Lenoir,
Joseph Fouché,
Marie Waleska,
Talleyrand, Metternich, Karl Robert von Nesselrode,
le général comte Alexis Andreïevitch Araktcheïev : connu pour son despotisme et sa cruauté, le général Araktcheïev… Père spirituel du général*** ?, déclarait à ceux qui se risquaient à le critiquer « Je suis l'ami du tsar et les plaintes à mon sujet ne peuvent être adressées qu'à Dieu »,
le comte Otto von Bismarck,
Joseph Chamberlain,
Jules Ferry, Louis Franck, Albert De Vleeschauwer,
Martin Bormann,
Albert Speer,
Sergueï Kirov,
Andreï Jdanov, flic de la culture et de la pensée,
Viatcheslaw Molotov, un instrumentiste, dit-on … De très haut niveau, certes, inspirateur des cocktails et des cacas du même nom !, plutôt qu'un véritable conseiller, Staline ne prenant jamais conseil de personne,
Gueorgui Maksimilianovitch Malenkov,
Harry Hopkins,
Félix de Hemptinne,
Song Meiling (alias « Madame Tchang »),
John Edgar Hoover et Clyde Tolson, Allen Dulles, Frank Carlucci,
Etienne Davignon et Jacques Brassinne (dont on dit qu'ils figurent parmi les inspirateurs... Les Autorités Morales ?,  du complot belgo-américain visant à l'assassinat de Patrice Lumumba),
Charles Pasqua, Jacques Foccart, Marie-France Garaud,
Egon Bahr,
Jiang Qing (alias Li Yunhe, alias Li Jin, alias Lan Ping, alias « la femme de Mao »), Zhang Chunqiao, Yao Wenyuan et Wang Hongwen,
Alexandr Iakoviev,
Victor Nendaka et Godefroid Munongo, Madrandele Tamzi, Jean Seti Yale (alias «Ya Jean», «Zéro One», «Spécial» ou «Roméo Golf»), Edouard Mokolo Wa Mpombo, Roger Nkema Liloo, Alain-André Atundu Liongo, Jacques Atenda, Jacob Pelendo Beledu Mawe,
Henri Kissinger, James Baker, Zbigniew Brzezinski, Robert Gates,
Rafaël Aitan,
Nuon Chea,
François de Grossouvre, Hubert Vedrine,
Markus Johannes « Mischa » Wolf,
Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba,
Kang Sheng (de son vrai nom Zhang Zongke), considéré comme le père des laogai,
Jia Chunwang, Zhou Yongkang, Meng Jianzhu,
Karl Rove,
Henri Guaino, Brice Hortefeux, Patrick Buisson et Claude Guéant,
Yoram Cohen (Shabak), Yossi Cohen (Mossad) et Ronny Alsheik (préfet général de police d'Israël),
le lieutenant-général Ahmad Shuja Pasha (patron de l'ISI depuis... 2008),
Samba Kaputo et 
- Ba nani baliaki bango ?
Augustin Katumba Mwanke (fondateur du « Domaine Réservé du Raïs »... avec seulement 15 membres), 
le dicab Ya Mwilan, etc


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(1) On sait que j'adore ça : les dénonciations anonymes écrites par un corbeau avec une plume arrachée à son aile gauche et les chapelets de noms-crottes de lapin, les nomenclatures, énumérations et catalogues de martyrs, les listes de lauréats de toutes les guerres (locales, régionales, coloniales, impériales ou mondiales) inscrites en lettres d'or sur les monuments funéraires, les vieux carnets d'adresses comptant plus de morts 
- Qu'ils reposent en paix ! Malgré les expropriations minières, les excavations, les creusement de nouvelles galeries et les éboulements de terrain, les occupations sans titre et les conflits parcellaires entre tombes voisines et concurrentes!
que de vivants... Mais il faut aussi savoir que les noms cités ne sont que de simples illustrations. Et que je ne prétends nullement être exhaustif.Et que je n'exclus absolument pas la possibilité (je n'ai pas accès au réseau et je ne puis même pas me faire un bon petit Google pour vérifier de bienfondé de mes « intuitions » fulgurantes et triomphantes) de me tromper louuuuuurdement. Naboyi te !



3.      Les transgenres et les Mutants



Oui mais Lucrèce Borgia, la sœur de César Borgia et la fille naturelle du pape Alexandre VI... elle relevait de quel « statut », cette grande fille-là, cette « protectrice des arts » : était-elle sorcière, crapuleuse ou simplement instrumentiste (comme l'ont été, en d'autres temps, en d'autres lieux, le sergent de l'armée bolivienne Mario Terran qui a abattu Che Guevara ou l'agent de la CIA, le cubain-américain Felix Rodriguez qui a pris des photos du cadavre) ? Etait-elle chasseresse ou simple « appeau »  (comme l'a été, en d'autres temps, en d'autres lieux, Sorour Arbazadeh, une des séductrices-appâts du Gand des Barbares) ? Et Machiavel, l'inspirateur de Walsingham : était-il philosophe, comploteur ou chargé de missions secrètes ? Et Mahaut d'Artois et Jolantha d'Aragon, les belles-doches intrigantes et manipulatrices ? Et Judas Iscariote et Lady Hester Lucy Stanhope et Lawrence d'Arabie et Jean-Charles Marchiani et le capitaine Barril ? Et Mort-Mort et Grigori Efimovitch Raspoutine (féticheur, séducteur et confesseur... que l'archimandrite Théophane, inspecteur de l'Académie de théologie de Saint-Petersbourg avait chaudement recommandé à la princesse Victoria Alix Hélène Louise Béatrice de Hesse et du Rhin devenue tsarine de Russie sous le nom d'Alexandra Fiodorovna Romanova), Pierre Debizet et Paul Comiti, Bob Denard ? Où peut-on les situer, ces activistes et fomentateurs ?
C'est compliqué de fourrer tous ces gens-là dans un seul tiroir. D'abord, ils sont nombreux. Ensuite, ce sont des termites et ils passent facilement d'un tiroir à l'autre, d'un meuble à l'autre, d'une pièce à l'autre,d'une maison à l'autre, d'une ville à l'autre, d'un pays à l'autre ! Mais ils tous en commun d'avoir œuvré dans le cadre de systèmes sorciers, dans l'opacité la plus totale, sans vision, sans protection sociale
- Nzambe akosala !
de la population, sans objectif autre que celui de l'enrichissement personnel d'une caste, d'une coterie ou d'une bande mafieuse de dirigeants autoproclamés ou (mal) « élus » sans tenir compte des aspirations profondes de la population, en dehors de tout contrôle démocratique...

Effectivement, la frontière entre les différents états (sorciers, "services" ou crapuleux... et instrumentistes, ces agents d'exécution émargeant au budget des « services ») n'est ni précise ni infranchissable. Bien au contraire. Et le mélange des genres est habituel. Et le passage, au sein d'un même genre, d'une obédience à l'autre aussi : un exécutant stipendié peut trahir son crapuleux habituel et offrir ses services à un plus offrant, un crapuleux peut changer d'inféodation, un sorcier feudataire précédemment inféodé à un sorcier régalien peut décider de s'inféoder à un autre sorcier régalien dans l'espoir d'être mieux servi, d'avoir accès à la mangeoire des grands, de partager les meilleurs plats : Pondu tonda mabaku ! Kitokooo ! Na loso ! Mpe na thomson batumba na balabala ! Mpe na ndakala bien grillés !
Et le passage d'un statut à l'autre aussi: un exécutant stipendié accède parfois au rang de crapuleux et il arrive également qu'un conseiller spécial prenne la place, d'un Haut-Hiérarque...

Dans le système sorcier, les différents métiers du pouvoir sont donc des métiers élastiques. Pour pouvoir les exercer, il faut avoir l'échine souple, développer son employabilité, se flexibilité, son attractivité, sa bankabilité et sa tronchabilité, suivre les tendances du Tout-Puissant Marché, être toujours à l'affût de nouvelles opportunités et, surtout… C'est essentiel !, mépriser l'Etat de droit (national ou international), la justice, la démocratie et s'affranchir de leurs règles... et rejeter avec fermeté tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à ce que mon ami Justin Kankwenda Mbaya appelle la « socialisation du développement ».

Après tout, un ancien de l'Irgoun a bien pu devenir Premier ministre d'Israël et George Bush, après avoir succédé à Bill Colby comme directeur de la CIA est devenu Vice-Potus (sous Ronald Reagan) puis Potus titulaire, régnant sur les Amériques et l'Empire des chrétiens. Et Joseph-Désiré Mobutu, après avoir à l'époque coloniale occupé de petits boulots… On dit, on raconte, balobi ? Lokuta monene ?, d'indicateur ou de mouchard des « services » de la colonie au Luabango, a bien fini par se transformer en « Roi Christophe » du Zaïre après avoir… On dit, on raconte, balobi ? Lokuta monene ?, fait allégeance aux « services » américains.
D'abord simple agent des « services », Vladimir Poutine a, par la suite été le courtisan assidu, le confident très écouté, l'éminence grise et l'âme damnée de Boris Eltsine avant de devenir le Haut-Hiérarque d'une Russie redevenue sainte, orthodoxe et impériale.
Le maréchal Abdel Fattah Khalil al-Sissi, ancien chef des services de renseignements militaires sous Moubarak deviendra le hiérarque d'Egypte, à l'issue d'une « élection triomphale » remportée avec plus de 90% des voix des 10% des électeurs ayant participé au vote.
Une bande de quatre conseillers et crapuleux notoires a bien failli s'emparer... à l'instigation de Mao Zedong lui-même, semble-t-il !, du pouvoir en République populaire de Chine. Et un instrumentiste, comme le sergent Samuel Doe, est même parvenu jusqu'au sommet avant de se faire tailler en pièces par ses pairs. Vlad Trois Basarab (dit l'Empaleur) a, quant à lui, cumulé plusieurs rôles : tout à la fois Haut-Hiérarque et crapuleux... et même instrumentiste, n'hésitant pas à embrocher personnellement ses ennemis préférés sur des pieux en bois. Adolf  Hitler… le gazé ou l'envapé du front de l'Yser, ce qui expliquerait bien des choses ?,  a pour sa part, après la guerre de 14/18, été d'abord recruté comme agent des « services » de l'armée allemande (obéissant aux ordres d'une faction d'officiers revanchards) avant de monter, pour son propre compte
- Tata bo ?
- Moko !
sur le trône de Haut-Hiérarque tout puissant du Troisième Reich.

A l'intérieur même du système sorcier, certains agents dévorés par l'ambition, âmes damnées, philosophes-conseils, crapuleux (et même de simples instrumentistes ayant été chargés d'exécuter des crimes de haut niveau... et craignant d'être licenciés une fois la saison de chasse terminée, abandonnés ou éliminés : écrasés par un camion militaire dont les freins auraient lâché, précipités dans le vide du haut d'une passerelle ou d'un pont, jetés au fond d'un puits ou dans une fosse à crocodiles, pendus à une branche d'arbre), croient pouvoir obtenir davantage, s'élever dans la hiérarchie... et devenir eux-même Hauts-Hiéraques   Il arrive parfois que les faiseurs de roi ou même ses bouffons, guidés par une main divine, sortent de leur condition d'agent et se couronnent eux-mêmes. Surtout parmi les crapuleux grisés par l'impunité dont ils ont toujours bénéficié dans l'accomplissement des « basses besognes » qui leur ont été confiées, affranchis de toutes les lois et estimant ne devoir rendre compte à personne...

Cherchant à devenir sorciers à la place des sorciers, ils se servent des « secrets » dont ils sont dépositaires, exercent des chantages, agissent de leur propre initiative hors de tout contrôle et utilisent leur pouvoir pour assouvir des convoitises ou des vengeances personnelles (comme le général*** déjà nommé, prélat inquisiteur et persécuteur sadique, œuvrant au sein du Saint-Office, obsédé par son odeur corporelle et laissant derrière lui des effluves d'after-shave pour dissimuler sa puanteur morale... et qui m'accompagnera pendant tout la durée de mon buku-diarrhée verbale et que je ne me lasserai pas de poursuivre, jusqu'à la libération de Mopoie et de Bangazegino... et que je ne lâcherai pas avant), complotent contre les sorciers en place, ambitionnent de s'emparer du pouvoir... et, souvent, trahis ou abandonnés par leurs collègues, complices ou concurrents, ratent leur coup. On retrouve alors leurs corps, abattus à la sulfateuse dans un garage de Chicago ou égorgés dans une chambre d'hôtel, à Johannesbourg, dans
- Bonne année, cher ami ! Avec les compliments de la Haute Hiérarchie !
la nuit du 31 décembre 2013 au 1er janvier 2014.

Ainsi finissent certains ambitieux : qualifiés d'ennemis du système et exécutés à la dure, sans procès, sans préavis, sans étourdissement préalable, par des tueurs qui peut-être travaillaient auparavant sous leurs ordres.
Abattus, égorgés, empoisonnés.
Ou victimes de l’explosion d’une bonbonne de gaz, de la chute d'un sèche-cheveux dans une baignoire ou d'un accident d'hélicoptère ou de petit porteur.
Ou enfermés et oubliés pour toujours à la Bastille, à la forteresse Pierre et Paul de Saint-Petersbourg ou à la prison moscovite de Lefortovo.

Au Luabongo et partout ailleurs dans le monde des sorciers. 


4.      Les victimes des crapuleux et, particulièrement, les victimes d'actes de brigandage policier, sécuritaire et militaire


Quelques noms de personnes « suspectées » par les crapuleux de déplaire à une Haute Hiérarchie, de nuire à ses intérêts et d'être coupables de tout et de n'importe quoi (capables et donc coupables) ou leurs parents, proches, domestiques, chauffeurs et connaissances et qui ont dû être "retirées de la circulation" et qui ont été humiliées et cochonnées par des crapuleux et/ou assassinées par des instrumentistes répondant à leurs ordres ?
Des exemples ? 

Parmi les personnes « suspectées » d'avoir été assassinées
- Tous ne sont pas des héros de la liberté, de l'égalité et de la fraternité ! Loin s'en faut ! Il ne suffit pas d'avoir été assassiné ! On assassine aussi des fous dangereux, des salopes et des tyrans !
par des instrumentistes mandatés à cet effet ou des équipes spéciales d'intervention, peut-on citer NOTAMMENT (simples échantillons « qu'on met en vitrine pour donner une idée de l'ensemble »), en vrac et au hasard des dictionnaires : Alcibiade, Cicéron, Caligula, Messaline, Galswinthe, Dagobert, Moctuzema, Atahualpa, Henri IV de France (alias Jarnidieu), Thomas Becket, Éverard t'Serclaes, Gaspard de Coligny, Obwandiyag (alias Pontiac), Jean-Paul Marat, Abraham Lincoln, Sitting Bull, le cheikh Bouziane, son fils âgé de 15 ans et Si-Moussa faits prisonniers dans l'oasis de Zaâtcha  (fusillés et décapités, dont les têtes ont été fichées au bout de piques sur la place du marché de Biskra,puis transférées en France, exposées à la société d'anthropologie puis conservées dans les réserves du Musée de l'homme),  Mwenda M'Siri Ngelengwa Shitambi, Emiliano Zapata, Pancho Villa, Rosa Luxembourg, Karl Liebknecht, Jean Jaurès, Augusto César Sandino, Englebert Dollfuss, Léon Trotski, Aung San, Mohandas Karamchand Gandhi, Félix-Roland Moumié, Ernest Ouandié, Engelbert Mveng, Eduardo Mondlane, Roldos d'Equateur, Torrijos du Panama, John-Fitzgerald Kennedy, Patrice-Emery Lumumba, Sylvanus Olympio, Louis Rwagasore, Julien Lahaut, Pierre Mulele, Che Guevara, Malcolm X, Martin Luther King, Marylin Monroë 
- Dont le meurtre pourrait avoir été commandité par Bobby Kennedy ?
- Ben voyons ! Tout comme celui de John Fitzgerald Kennedy l'a été par une coalition mafieuse composée, notamment, de Fidel Castro, de Lyndon Baines Johnson, de J.Edgar Hoover et d'Allen Dulles ! Ou par Aristide Onassis qui rêvait de devenir président à la place du président en épousant sa veuve peut-être ?
Pierre Goldman, Mehdi Ben Barka, Dulcie September, Victor Jara, Orlando Letelier, Thomas Sankara, Amilcar Cabral, Chico Mendes, Aldo Moro, Marien Ngouabi, Norbert Zongo, Deyda Hydara, Indira Gandhi, Samora Machel, Nokuthula Simelane (transportant des messages pour la branche armée de l'ANC), Steve Biko, Naïm Khader, Yitshak Rabin, André Cools, Anouar el-Sadate, Juvénal Habyarimana, Anna Politkovskaia (dont on a offert la mort à Poutine, un 7 octobre 2006, pour son anniversaire), Chris Hani (secrétaire général du parti communiste sud-africain et un des chefs militaires de Umkhonto we Sizwe, pressenti pour devenir vice-président  aux côtés de Nelson Mandela, abattu à son domicile un an avant la fin de l'apartheid), Mzee Laurent-Désiré Kabila, Chawki Armali, Ahmad Shah Massoud, Enver Hadri, Alexandre Litvinenko, Yasser Arafat, Benazir Butho, Khaled Saïd, Edwin Chota Valera, Leoncio  Quincima Melendez, Jorge Rios Perez, Francisco Pinedo... 
Tandis qu'aux USA, Laquan McDonald, Tamir Rice (12 ans), Michaël Brown, Eric Garner, Walter Scott sont abattus par la police : walking while Blacks ?

Et aussi, en République autocratique du Luabongo, Monseigneur Christophe Munzihirwa Mwene Ngabo, Serge Maheshe, Didace Namujimbo et Koko Bruno Chirhambiza
- Ba nani baliaki bango ?
Mbuza Mabe Nkumu Embanze
- Akufi na nini ? Nani aliaki ye ?
Guillaume Samba Kaputo
- Nani aliaki ye ? Batieli y poison ?
Augustin Katumba Mwanke
- Nani aliaki ye ?
Mwamba Bapuwa,
- Nani aliaki ye ?
Pascal Kabungulu Kibembi, assassiné le 31 juillet 2005 à Bukavu, à son domicile, devant sa femme et ses enfants par un groupe d'homme habillés en kaki
- Nani aliaki ye ?
Franck Kangundu, alias Ngyke, et son épouse, Hélène Mpaka
- Nani aliaki bango? 
Albert Ngezayo Prigogine
- Nani aliaki ye?
Daniel Boteti Loleke Bokeli
- Nani aliaki ye ?
Floribert Chebeya Bahizire, directeur exéctif de la VSS  et Fidèle Bazana, chauffeur et chargé de dispatching à la VSV.  
- Nani aliaki bango ?
Armand Tungulu
- Nani aliaki ye ? 
Soleil Balanga, travaillant pour la radio communautaire Monkoto Soso Eleli (le coq chante), qui s'est fait trancher la gorge le 15 avril 2015
- Nani aliaki ye ? Doris Mpawudi Manzanza, vendeur ambulant, mort sous la torture, au Camp Lufungula 
- Nani aliaki ye ?  
Vainqueur Bukaka, 18 mois, morte asphyxiée au troisième jour de sa détention dans le cachot du sous-ciat de Matadi Kibala où elle avait été incarcérée aux côtés de son père, suspecté d’avoir volé une chaise en plastique
- Nani aliaki ye ?  
Germain Kennedy Muliwavyo
- Nani aliaki ye ?
et même le colonel Mamadou Ndala
- Ba nani baliaki bango ?
un jeune colonel des FARL devenu trop populaire et qui aurait pu avoir des ambitions… de même que, quelques mois plus tard, au courant de la même année 2014, le général Lucien Bahuma Ambamba dont ce colonel relevait et, encore plus tard mais toujours au courant de l' année 2014 le chauffeur de la jeep de commandement du colonel Mamadou Ndala, le sergent-major Arsène Ndabu Ndongala  ?

Après Fidèle Bazana, Arsène Ndabu Ndongala !
 Décidement, il ne fait pas bon être le chauffeur d'une personne assassinée en République autocratique du Luabongo !
Ni même, tout simplement, d'être le chauffeur d'une personne connue. Et d'être témoin oculaire ou auriculaire de trop d'événements. Ou d'avoir été imprudent : trop curieux ou trop bavard, trop intime ou carrément complice.
Et il est aussi très dangereux d'enquêter sur la mort du chauffeur d'une personne connue. Et de relever des empreintes sur les cercueils ou des traces de pas autour des tombes. En République autocratique du Luabongo, certes… mais au Burkina Faso aussi sous le régime autocratique antérieur. On se rappellera que le journaliste Norbert Zongo y a été assassiné le 13 décembre 1998 alors qu'il enquêtait sur le meurtre sous la torture de David Ouédraogo, le chauffeur de François Compaoré, frère de Blaise, du même nom.

Et ça continuera.
Le système sorcier de la République autocratique du Luabongo ne cessera jamais d'avoir faim.
Le docteur Mukwebe a fait l'objet d'une tentative d'assassinat.
Katumbi Chapwe et  Georges Mawine Kahinde l'ont également échappé belle mais tout le monde n'a pas eu la même chance. Et Vana Kiboko, depuis son arrestation, doit veiller à ne pas manger des plats cuisinés par des personnes inconnues. Et, chaque jour, de nouvelles personnes « suspectées » de tout et de n'importe quoi (capables et donc coupables) ou leurs parents, chauffeurs, connaissances ou voisins continuent d'être cochonnées par des crapuleux et/ou assassinées par des instrumentistes répondant à leurs ordres:
Des "petits"... Surtout eux !,  comme Doris Mpawudi Manzanza, vendeur à la criée au marché UPN ou Gautier Pipa Luka-Luka, simple policier chargé de monter la garde devant la résidence d'un colonel à Kikwit
ou des "Luabangais connus" comme le journaliste Robert Chamwami Shalubuto à Goma
- Nani aliaki ye ? 
ou même un vieillard de 84 ans comme Kapaya Etienne dont je ne manque jamais l'occasion de citer le nom et de faire revivre le souvenir et dont je crains que, toute sa vie durant
- Nzambe akosala ? Nzamba asali jamais !
ce vieil homme ait été victime de tous les différents systèmes sorciers qui se sont succédés dans son pays et en ont vampirisé les habitants (du colonialisme aumobutisme, tiiii... l'avvènement de la République autocratique du Luavbongo) même si lui-même n'a (peut-être... je ne sais rien de son histoire avant sa mort) pas été la proie et la victime "directe" ou "immédiate" de l'un ou l'autre crapuleux inféodés à ces régimes
- Nani aliaki ye ?

Et ça continue !
Et Martin Mwamba, le taximen de Lulumbashi qui s'est immolé par le feu, ne figure-t-il pas également parmi les victimes du système sorcier ?
Et le député provinciak Kenda Kenda, mort en détention à Goma ?
Et le chauffeur de taxi Okundji Otshudi Djani (alias Adjedje), abattu par un homme habillé en bleu dans un parking de Matete, le dimanche 7 février 2016,  alors qu'il fêtait à sa manière la victoire de l"équipe des Léopards en finale du Championnat d'Afrique des Nations (Chan 2016) ?

Et aux Etats-Unis aussi, ça n'arrête pas. Alton Sterling (alias CD-Man) et Philando Castile (dans sa voiture, en présence de Diamond Reynolds, sa compagne et de la petite fille de celle-ci) sont abattus à bout portant par des policiers hystériques : breathing while Blacks ?  ...





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Il n'y a pas à dire : partout dans le monde, dans toutes les autocraties, à toutes les époques et sous tous les régimes,
 les peuples ont souvent été malmenés, pressurés, brutalisés ou assassinés par des crapuleux agissant au nom d'une Haute Hiérarchie





Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
Problème ezali te, cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/